samedi 22 octobre 2011

Les héritiers d'Enkidiev tome 2 : nouveau monde de Anne Robillard



Edition : Michel Lafon
Pages : 338
Prix : 15 €


4ème de couverture :
   Les chevaliers d'Emeraude ont vaincu l'Empereur Noir et ses guerriers insectes. Quinze ans plus tard, les héritiers d'Enkidiev partent à la conquête des Territoires Inconnus. Mais que trouveront-t-ils au-delà des montagnes volcaniques ?
Tome 2 : Nouveau monde
   En quête de la fleur magique qui pourrait sauver Onix, Hadrian d'Argent et ses treizes compagnonsparent à la découverte du nouveau monde. Au-delà des volcans, ils croisent des créatures étranges et merveilleuses comme le Falwé, mi-homme mi-fauve, qui hante les forêts d'Enlikisar. Mais pour accomplir leur mission, ils devront affronter des civilisations sanguinaires, et seront contraints d'abandonner un précieux membre de leur expédition. De son côté, le Roi d'Emeraude, en recherchant dans le passé l'origine de ses pouvoirs, réveille un terrible conflit entre les trois principaux panthéons. Saura-t-il protéger son peuple des dangereuses manigances des dieux jaloux ?
Braver l'inconnu

Mon avis :
   Le 2ème tome d'une saga toujours aussi passionnante. Vue que c'est la suite d'une 1ère saga de 12 tomes (les chevaliers d'Emeraude), on commence vraiment à bien connaître les personnages, et on si est attaché ! Le seul petit problème, comme on parle des personnages, c'est que je trouve qu'il y en a trop, et en plus l'auteur nous en rajoute avec tous les peuples qui vivent au delà des volcans. Sinon, je trouve qu'Anne Robillard gère très bien la suite des chevaliers d'Emeraude. Bon, il n'y a pas le même effet de surprise mais il y a comme même plein de rebondissement vraiment imprévu. Ce livre se finit, bien sur, à un moment où tout peut changer, où il va se passer quelque chose de TRÈS important, bref, c'est une fin qui te donne vraiment envie de lire la suite.

Note :
   4/5
   Le 2ème tome d'une saga toujours aussi passionnante (je sais je l'ai déjà dis) et une fin qui m'énerve (j'ai trop envie de savoir la suite).

dimanche 9 octobre 2011

Petite info

   Le 22 octobre, c'est le Read a thon, qui est un marathon de lecture où on lit 24h. Il y a aussi le mini Read a thon là où on ne lit que 12h. Pour vous inscrire ou pour mieux comprendre ce que c'est allé sur le blog de Book Me Tiboux en cliquant ici.
   Perso, je me suis inscrite au mini read a thon, je commencerais à 10h.

Tara Duncan tome 9 : contre le Reine Noire de Sophie Audouin-Mamikonian

 
Edition : XO
Pages : 465
Prix : 19,90

4ème de couverture :
   "Certainement pas !"
   A la stupéfaction générale, Tara, le jour de ses seizes ans, refuse catégoriquement de devenir impératrice d'Omois, alors que sa tante, Lisbeth, annonce qu'elle abdique en sa faveur.
   Et la stupeur devient terreur quand Tara s'incarne en Reine Noire ! Démoniaque, prête à tout pour accéder au pouvoir, elle était tapie au fond de Tara depuis que celle-ci a utilisé la magie dans les limbes, et attendait son heure...

   Tara est obligée de fuir AutreMonde, car on veut la mettre aux arrêts afin de bloquer la Reine Noire. Il lui faut aller sur terre, arrêter Magister. Elle sait aussi que, tôt ou tard, elle devra affronter celle qui vit en elle. Est-ce une entité démoniaque ? Ou la part la plus sombre d'elle même ? Laquelle finira par dominer l'autre.

Mon avis :
   Commençons par les points forts :
   Ce neuvième tome m'a encore fait rire, avec ces petits moments ridicules et surtout avec Cal, notre petit voleur qui trouve toujours quelque chose à dire pour changer une scène dramatique en une scène hilarante.

   Et tout les trucs qui m'ont vraiment énervé :
   Tara Duncan devient vraiment lassante.
   Elle doit encore sauver le monde. Elle fait encore des bêtises. Et il y a encore des problèmes avec toutes les histoires d'amour qu'a créer Sophie Audouin-Mamikonian.
   Et puis, pitié Sophie, fait mourrir quelqu'un. Je t'en supplie fait mourrir quelqu'un et qu'il reste mort. Pourquoi les personnes mortes ne peuvent pas le rester, dans ton livre ?

Note :
   1,5/5
   C'est limite un zéro, mais les petites touches d'humour que l'on retrouve très souvent ont sauvé Tara Duncan. Le seul truc qui me rattache à cette saga, c'est de savoir qui est Magister.